Rue des Chaprais, un mur avait été tagué (gribouillé ?) à peine repeint.
Depuis une semaine, il est recouvert d’une fresque à message
près du pont des Cras, des portes de garage ont été taguées à plusieurs reprises.
Ce matin, elles ont été repeintes en gris uni plus discret, non pas par le service de la ville mais par un particulier : une femme pot de peinture à la main (la propriétaire ?).
Il ne reste plus que les panneaux publicitaires à attirer l’oeil.
Un débat qui n’est pas nouveau entre « artistes » et habitants : qu’est ce qui est beau ? qu’est-ce qui est laid ? l’artiste est-il là pour provoquer ou pour réunir, apaiser ?
L’ennui avec certains artistes, c’est qu’ils imposent aux autres, leurs oeuvres au lieu de les réserver à leurs fans.
Une chose est sûre, les marchands de peinture sont ravis.
Selon d’autres avis, la question n’est pas esthétique, mais purement juridique : les tags sont des délits
NB Ce panneau n’a pas été photographié à Besançon
Voir un article précédent sur les tags à messages
Un autre article sur les panneaux publicitaires
Mise à jour 12/7/16 : il n’a pas fallu attendre longtemps pour qu’un gribouilleur sévisse rue des Chaprais