Besançon, ville d’eau, dans le passé
Histoire d’eau. La sécheresse persistante est l’occasion de revoir la place de l’eau à Besançon jadis
Besançon a voulu participer à la mode des villes d’eaux avec l’eau salée de Miserey
Avec des constructions grandioses dans le secteur de la Mouillère, donc aux Chaprais.
Les touristes et curistes n’étaient pas les seuls à pouvoir se doucher
Les Bains douches des Chaprais, rue de Belfort de style mauresque étaient assez fréquentés
Comme le centre ville, Battant aussi a disposé de Bains Douches
Les lieux de baignades
A défaut d’établissements spécialisés, on se baignait dans le Doubs
des militaires aux Prés de Vaux
ou depuis la digue dans les années 1900
ou sous l’occupation face à la Tour de la Pelote
Un bassin Marc a été aménagé à une ancienne époque
Rue des Cras, le réservoir d’eau de la SNCF servait de piscine
Cette piscine a été remplacée par des HLM comme le relate l’Est Républicain du 22 janvier 1997
Dans les années 30, l’architecte Boucton avait proposé un projet de piscine sur le quai. Il n’a pas été réalisé.
Des fontaines avec cascades aux Chaprais
Fontaine Billecul
Cascade en haut de la rue Isenbart
Promenade Micaud, une pièce d’eau avec passerelle
De belles fontaines sur des places des Chaprais et de Battant
Place Flore sous la statue de Just Becquet
Place Jouffroy à Battant près de la Madeleine
ou place Bacchus
Le 7 août 1919 on manquait aussi dramatiquement d’eau pour combattre l‘incendie de la gare Viotte