Aux Oiseaux en septembre : logement, repas et culture

Aux Oiseaux en septembre : logement, repas et culture

Migrants naufragés en méditerranée et Cheminots bisontins résistants

Au 48 rue des Cras, l’Habitat Jeunes Les oiseaux héberge des jeunes, propose des repas mais pas seulement


Oiseaux self août 20

Jeudi 2 septembre : projection débat


Dans le cadre de ses grands rendez-vous, le centre de ressources de RéCiDev propose deux soirées à Besançon en soutien à l’association SOS Méditerranée, les 2 et 3 septembre prochains.
Fondée à l’initiative de « citoyen·nes européen·nes indigné·nes » face au drame des naufrages à répétition en Méditerranée et grâce à une mobilisation exceptionnelle de la société civile, l’association SOS Méditerranée a contribué à secourir quelque 33 000 personnes depuis 2016.

voix de la mer

Jeudi 2 Septembre – à l’Habitat Jeunes Les oiseaux
〰️ 19 h : Inauguration de l’exposition & animation tout public + grignotages
〰️ 20 h30 : Projection-débat du documentaire « Numéro 387 : disparu en Méditerranée », en présence de la réalisatrice Madeleine Leroyer et de Syphax Allek et Capucine Dotte, membres de l’association SOS Méditerranée.

Numéro 387, Disparu en méditerranée

Les fragments d’une lettre d’amour et quelques photos intactes.
Un sweat à capuche, un pantalon, une ceinture… C’est tout ce qui reste du Numéro 387, l’un des 1 000 migrants morts le 18 avril 2015, au large des côtes libyennes, dans le naufrage du bateau fantôme qui les transportait.
A ce jour, il s’agit de la tragédie la plus meurtrière en Méditerranée depuis la Seconde Guerre Mondiale.
A Milan, l’anthropologue légiste Cristina Cattaneo mène la plus vaste opération d’identification jamais entreprise à ce jour en Méditerranée. Elle cherche à redonner un nom à ces disparus.
Réfugié rescapé du naufrage


La suite vendredi 3 Septembre – au Pixel

Jeudi 9 septembre à 20 heures Les cheminots bisontins dans la Résistance :

conférence de Madame Martine Chevillard, professeure d’Histoire-Géographie

?monument morts gare Viotte

Sur le monument aux morts des cheminots de la gare Viotte, il y a 35 noms qui pour celle ou celui qui les lit aujourd’hui posent question : Qui étaient ces hommes ? Quels métiers avaient-ils ? Quels ont été leurs engagements ? Et que sait-on de la vie dans cette partie du quartier des Chaprais occupé par les troupes allemandes nazies ? Il y a 80 ans, cela parait bien loin, mais n’est-ce pas le rôle de l’Histoire de redonner vie et sens à ces moments si difficiles de notre passé local et national pour mieux construire l’avenir.

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