Espaces verts
De trop rares espaces publics, situés à la périphérie
La promenade Micaud
Une exception : le parc des Chaprais grâce au don de M Millot
Les autres sont privés, donc menacés à chaque vente de terrain
Plan extrait d’un rapport officiel
A chaque projet immobilier, les arbres sont abattus, l’espace vert disparaît et n’est pas remplacé ou de façon ridicule. Exemple récent rue Paul Bert.
Béton ou goudron partout, l’eau de pluie n’est plus retenue, les risques d’inondation augmentent
Et avec le chantier du tram de nombreux arbres ont été abattus. Parfois, d’autres ont été plantés sans faire disparaître l’impression de minérale.
Exemple devant le 24 avenue Fontaine Argent
30 novembre 2011
La ville de Londres espère se débarrasser des particules fines en plantant des arbres…
Dans le quartier des Chaprais, ne pourrait-on pas d’abord cesser d’abattre les arbres ou alors les remplacer ?
Selon une étude de l’université de Southampton, en Grande-Bretagne, les arbres plantés dans la région de Londres permettraient d’éliminer entre 850 et 2.000 tonnes de particules fines (PM10) par an. Pins ou chênes verts seraient à privilégier en ville : les particules de poussière s’accrochent à leurs feuilles en raison de leur forme. «Après déposition, une partie de la poussière reste agglutinée. Une autre partie se détache à nouveau de la feuille en cas de vent assez fort ou elle est rincée et évacuée par l’eau de pluie. Dès son arrivée au sol, la particule de poussière peut être emportée par l’eau de ruissellement dans le caniveau ou se coller au sol où elle est stockée plus longtemps», explique une étude de l’interprofession française de l’horticulture.