Rue des Jardins entre Marly et ponts
Une rue assez courte, en pente, entre la place des Déportés et les rues Pierre Semard et des Vaites
A l’intersection avec la rue Tristan Bernard, au numéro 2 de la rue des Jardins un immeuble (Le Marly) domine le quartier de sa masse et de sa hauteur imposantes
Cette masse imposante fait de l’ombre sur toute la rue, chaque matin
Vu du ciel, en décembre 2012, les deux grands immeubles de la rue des jardins face au cimetière des Chaprais
des commerces, place des déportés, au début de la rue des jardins,
vente de chrysanthèmes pour la Toussaint près du cimetière
Au numéro 6, la copropriété Les jardins bénéficie du parc situé entre les deux immeubles
L’église Saint Martin des Chaprais, surélevée vue depuis le n° 6 de la rue des Jardins
Côté pair, une villa entre deux grands ensembles immobiliers « bénéficie » d’une nouvelle armoire technique
places de stationnement et benne à verre, côté impair
Au carrefour avec la rue Baille, un salon de coiffure, un passage piéton et des pancartes annonçant le pont (Est-ce suffisant ?)
Au numéro 13, la maison de l’ado avec Rés’Ado et un centre de guidance (annexe du Centre hospitalier de Novillars) reçoit les enfants ou ados et leur famille pour des consultations médico-psychologiques tel 03 8153 48 02
Une autre villa côté impair
En haut de la rue, au numéro 18, un autre immeuble important : l’Eden centre côtoie l’ensemble HLM de la rue de l’église (n° 30)
Deux ponts franchissent la rue des jardins celui de la rue de l’église et celui de la SNCF
Les accidents sont fréquents au point que les riverains ont appelé cet ouvrage le « Pont Guillotin »
Il a fallu procéder à des réparations. La signalisation est-elle suffisante côté montant ? pourquoi pas une barre-gabarit comme dans le sens descendant ? Des phares déclenchés par un capteur devraient mieux avertir les étourdis.
Déjà difficile la sortie des immeubles était devenue très dangereuse durant les travaux nécessitant la fermeture du pont vers la rue de l’église
Les professionnels de la rue des Jardins : médecins rhumatologues, économistes de la construction, syndicat de propriétaires (UNPI), designer, salon de coiffure, psychologues, prothésiste dentaire, animateur-artistique, et les responsables de l’association Besançon Club Canin Corinne Benetruy, de Energie Cités (Gérard Magnin)
Dans les années 1960-80 : deux usines métallurgiques était installées dans cette rue : La SIOR (découpage) au n° 20 et Jean Monnier (boîtes de montres) au n° 17
Histoire : le nom de la rue a été donné en 1881 après l’intégration des Chaprais à la ville de Besançon. A l’époque, il n’y avait pas ou très peu de constructions, mais des jardins.
En 1942, peu de changement. Sur le plan « Bugnet » (du nom du maire de l’époque) on remarque les deux cimetières, la voie ferrée, très peu de constructions et toujours des jardins en particulier à l’intersection avec la rue Tristan Bernard.
En 1943, des soldats allemands défilent rue Tristan Bernard : on observe le cimetière et le jardin au coin de la rue des Jardins, où sera construit le Marly et le centre commercial.
Plan de masse du futur Marly
La circulation place des déportés et donc aussi rue des Jardins a été longtemps perturbée durant les travaux du tram.
Voir les pages sur les rues voisines : rue Tristan Bernard, rue de l’église
Les portraits de chapraisiens à proximité : Gérard Magnin, Corinne Benetruy