La rue Krug, entre l’Helvétie et l’avenue Carnot
La rue Krug, une petite rue entre l’Helvétie (et la rue Delavelle) près du pont de la République d’un côté et l’avenue Carnot de l’autre, (ou entre deux banques)
Au bas de la rue Krug, côté impair l’immeuble neuf qui a remplacé la villa Sexe et côté pair le siège de la Banque Populaire. A noter un conteneur à verre.
Au numéro 5, l’immeuble « Les terrasses » avec des logements et des professions libérales
dans le domaine de la santé : dentistes et stomatologues François Schieb, Thierry Camponovo, Anthony Debuys, orthophonistes Laura Damevin et Elodie Caderoly
et aussi un cabinet d’avocats (Henry, Durlot et Sevin) et une agence d’assurance (Gras-Savoye)
Après les immeubles récents et élevés, des maisons anciennes au 11, 13 et 15
Au milieu de la rue, au numéro 13, le siège de La roue de secours et l’allée qui conduit aux entreprises de chauffage, plomberie (Paillard) et d’électricité (Pisaroni). Puis au numéro 19 une agence d’intérim dont l’enseigne a changé plusieurs fois.
En face, au numéro 26, un immeuble ancien, ravalé récemment
En face de la rue Krug, le Sacré Coeur situé avenue Carnot
Tout en haut de la rue, à l’intersection avec l’avenue Carnot l’agence de la BNP, au numéro 30
et un immeuble d’habitation récent avec une agence de nettoyage (Eden) et le local de l’association Valentin Haüys et la Bibliothèque sonore pour les mal-voyants Voir le portrait de leurs responsables
La vie des piétons n’est pas toujours facile durant les travaux et même après : les trottoirs assez étroits sont souvent occupés par des véhicules, malgré des poteaux.
Sortie du personnel de la Banque populaire : un abri pour la pause cigarette
Circulation : La rue Krug est en sens unique entre l’avenue Carnot et l’avenue de l’Helvétie. La circulation automobile (plus limitée qu’auparavant) se fait donc par l’avenue Carnot
La rue Krug a subi indirectement les travaux du tram
jusqu’à sa réfection en octobre 2013
Histoire :
Paul Charles Krug est né en 1872 à Strasbourg d’un père fabricant de choucroute.
Il fit des études de droit à Nancy avec pour sujet de thèse Le féminisme et le droit civil français présentée en 1899. Il s’installa comme notaire à Besançon jusqu’en 1931. De tendance radicale socialiste, il a été élu conseiller municipal, et maire en 1919. Fait remarquable, il dirigea une municipalité comprenant aussi bien des adjoints radicaux comme Siffert (qui lui succéda), un socialiste : le docteur Baigue, et des hommes de droite comme Ducret et le docteur Heitz. Charles Krug est mort à Paris en 1947. En 1952, son nom fut donné à l’ancienne rue des Noyers
La rue des Noyers est pavoisée à la Libération.
Voir les pages consacrées aux rues voisines : avenue Carnot, rue Delavelle et à la promenade Micaud