Histoire et patrimoine des Chaprais : réunion jeudi 19 mai consacrée aux rues de Vittel, Cassotte et Deux Princesses

Au XVIII°, le quartier des Chaprais n’existait pas. Il y avait un hameau, quelques routes ou chemins et des jardins.
Au milieu du XIX° siècles, ces rues regroupaient une quinzaine de maisons et encore beaucoup de jardins.

Après la construction des gares de chemins de fer, le quartier s’est développé. En 1862, deux rues rejoignent l’emplacement du cimetière.

Au XX° siècle, une fontaine avec statue fut érigée la place de la Cassotte. Mais où commençait la rue de la Cassotte ?

En 1921, il y avait déjà un boucher nommé Charles Tisserand au n° 1. et dans la belle villa du numéro 9 un médecin Louis Charrière dont le fils deviendra célèbre.

Entre la rue de Vittel et la rue de la Cassotte (n° 10) s’établirent les Capucins

Quelles anciennes maisons subsistent-elles, alors que les contraintes militaires interdisaient les constructions en dur ?



Une maison répertoriée au n° 28

Et en face, rue des Deux Princesses une très ancienne maison avec tourelle et grand parc

Maison restaurée et devenue un meublé de tourisme 4 étoiles.

Globalement le recensement de 1921 dénombrait 148 habitants rue de la Cassotte répartis entre 42 ménages dans 14 maisons seulement et 199 habitants rue des Deux Princesses répartis entre 76 ménages dans 22 maisons. Bien que voisins les habitants de ces deux rues n’étaient pas du même milieu social. Des patrons avec des « gens de maison » rue de la Cassotte. Davantage d’employés et de jardiniers rue des deux Princesses.

Pour compléter ces quelques éléments, une réunion est organisée jeudi 19 mai à 15 h salle 4 au Centre Pierre Mendès France (entrée par la rue des Chalets. Les témoignages et documents sont les bien venus.

Entrée libre, mais, le nombre de places étant limité, il est conseillé d’annoncer sa venue par un petit mot à chaprais@gmail.com