Max rejoue avec les mots

Max rejoue avec les mots

7 «Pensées Pansées du Jour pour la Semaine»
pour s’amuser avec de nouveaux jeux «d’aime-haut» et de «l’être»,


sous forme de définition en quelque sorte -pouvant être de circonstance :

Max Athanase et son arbre



STRESS : « S-TRES-S » C’est-à-dire «TRÈS» entouré de deux «S», ce qui en fait trois en tout sur… six lettres !
Le mot «stress» parle donc d’excès. Et notamment,
dans les S-ystèmes – avec au hasard, obligation de s’y conformer.
Ou encore de «S-exe», dans un excès de… manque de S-exe ! C’est rigolo.
(Ben oui, on est rarement stressé par un… excès de sexe !
Ou alors, il faut vraiment être… (s’) ex-cessif ! (Ha ! Ha ! Ha !… Hm)).

***

SANTÉ = peut s’entendre et s’écrire : sans… T (é) !
Si (comme les enfants le comprennent très bien),
le T placé sur la ligne d’écriture, est un I coupé du haut
(c’est-à-dire du «ciel») par une barre horizontale, la «sans-té» représente
donc ce qui est sans limite. Et serait en fait, en jouant avec ses lettres,
une manière de retrouver son ciel intérieur («I»), au-delà des limites
extérieures, libéré de tous les besoins de S-écurité et autres S-ystèmes qui enferment les êtres. C’est rigolo, non ?

***


GUERIR : s’entend et peut se lire, on le sait tous, «gai-rire»
(et ce n’est pas votre serviteur qui va dire le contraire,
quand on sait que le rire contribue grandement à la gai-ri(s)on).
Beaucoup mieux que «soigner», c’est-à-dire : soi nier.
Ou encore «traiter» = trait-er = «tirer un trait» sur son «air» (-er) !
Alors, guérisseurs, soi(g)-niants, ou médecins… traitants ? –
qui nous prescrivent des cachets (pour se cacher (?!), de la/le mal-a-dit ?).

***


IMMUNITÉ : imm-unité – c’est marqué dessus ! – s’entend et se lit donc :
hymne à l’unité… intérieure, en soi d’abord et puis, après, extérieure,
dans le monde avec autrui. Rejoignant ainsi par le dicton bien-connu :
l’union fait la force.

***


MAL : inverse de l’âme. Tout est dit, c’est «l’âme à l’envers».
(En sachant également que «A-ME», avec «A-» comme préfixe privatif
représente l’absence de «ME» MOI, c’est-à-dire de l’égo !
Le MAL aurait donc, par déduction, à voir avec… l’égo ?!
Sauf si l’on met l’égo «au service» d‘un idéal moins…gotique !
A méditer.

***


BIEN : anagramme de BENI,
surtout si du «UN», on passe au DEUX : BI-UN !
Le BIEN serait donc par ses lettres, l’union de deux «UN».
(par… l’amour ?).

***


OUI : peut s’écrire O-U-I, et représente donc l’U-nion du cercle (O),
(et de la courbe – féminine), avec le trait (masculin ! (I)), u-nis par… U, c’est rigolo ! (U comme «Urne» ouverte et réceptive du … Ciel).
De plus, OUI, c’est aussi… OUI, comme dans «j’ai OUI».
Dirait-on OUI quand on a… OUI ? (vraiment).
Ou « Ouiii ! », quand on a… JOUI ?!
Ah ben ! c’est le minimum, avec un cercle : O et une droite : I !
Vous voulez un dessin ? Lol.
A méditer. (Ou à… léviter !).

***

MÈRE ?…
SI !

… d’avoir lu et joué.

Maxiomes de Max Athanase 2014Maxiomes de Max Athanase 2013
(Maxiomes : JE «M’AXE-(I)-HOMME» : Max Athanase
(6 tomes disponibles – chez l’auteur : maxiome@orange.fr (6 €).

Categories: Actualités, Humour

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