Le débat est relancé : doit-on encourager ou réprimer les dégradations sur les murs ?
Tandis que selon l’Est Républicain du dimanche 13 août « ce qui était considéré auparavant comme du vandalisme est aujourd’hui valorisé par les pouvoirs publics »
la rue du Cercle notamment a été « gratifiée d’une oeuvre » qui risque d’être interprétée comme du vandalisme
Cette dégradation récente semble avoir été commise dans la nuit du vendredi 11 août
A force de « valoriser » la peinture sur les murs, ne renforce-t-on pas la confusion au lieu de la distinction entre art et simple cochonnerie ?
L’argument des multiples animateurs du « street art », c’est qu’en formant les jeunes à peindre sur des espaces « libres » ils n’iraient pas dégrader ailleurs. Le pari est-il gagné ?
Dans le même article de l’Est Républicain, on apprend que selon Victor Gauvain chef du service Voirie propreté on a dépensé 300 000 euros pour enlever les graffitis en 2016
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